vendredi 23 mars 2012

El Hadj Ibrahima Mbow, Président Union citoyenne Bunt Bi

El hadj Ibrahima Mbow

« Bunt bi, un symbole pour le Sénégal »

Le parti politique Bunt bi est une formation politique pratiquement inconnue des Sénégalais. Pourtant, Bunt bi dispose bien d’un récépissé depuis 2007. Son président, le présente ici en faisant aussi le point sur les objectifs de son parti.

Que signifie Bunt bi ?
« Bunt Bi » est un mot wolof qui signifie la porte en langue française. C’est notre slogan, d’où « bunt sellal, bunt kom, bunt karangé, bunt natangué ». En gros, c’est notre symbole pour montrer que nous agissons pour servir le Sénégal.
Depuis quand est née votre formation politique ?
Notre parti a vu le jour depuis 2007. Nous avons même participé aux élections législatives de cette même année. Nous étions dans l’opposition et nous avions fait une coalition avec Talla Sylla. Mais aux élections locales, nous avons volé de nos propres ailes.
Parmi les 14 candidats à l’élection présidentielle passée, qui aviez vous soutenu ?
Nous étions évidemment dans la coalition « Macky 2012 ».
Justement, aujourd’hui votre candidat va affronter au second tour le président sortant. Quelles sont ces chances ?
Macky Sall est devenu le candidat du peuple. Wade est seul contre tous. Nous sommes très confiants et nous sommes sûrs de notre victoire. Nous sommes déjà dans l’après Wade. La récréation est finie et il faut commencer le travail au lendemain du 25 mars prochain.
En tant que membre du directoire de Benno Bokk Yakaar, quels sont les projets de votre coalition ?
Nous sommes en coalition avec Macky Sall. Nous voulons, avec lui, bâtir un Sénégal uni, paisible, prospère et solidaire. En ce qui nous (Bunt bi) concerne, c’est d’avoir une liste commune avec la coalition Benno Bokk Yakaar pour parachever notre combat, confirmer notre unité dans la mesure du possible et disposer d’une large majorité pour mieux appliquer les mesures nécessaires.
Macky doit disposer d’une forte majorité pour la refondation de l’Etat et l’application des conclusions des Assises nationales. 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire